En premier lieu : Il est nécessaire d’être aligné avec soi-même.
Qu’est ce que l’alignement ? Être, penser, dire et faire la même chose, pour et en accord avec soi.
Quand on se questionne sur une décision, c’est que le choix du cœur est déjà fait, sinon l’idée ne serait pas venue. L’incertitude se soulève parce que le choix entraîne des changements qui soulèvent les peurs.
Ce sont ces peurs qu’il faut travailler.
Le problème n’est pas le choix entre la situation 1 ou la situation 2 mais le danger que représente le changement. Le changement implique de quitter ce qui est connu et donc confortable.
L’être humain n’aime pas se mettre hors de sa zone de confort, il s’y sent insécure.
C’est ainsi que les schémas familiaux sont reproduits par mimétisme et ce même s’ils ne nous correspondent pas et nous éloignent de notre alignement.
Ce phénomène peut être conscient et inconscient.
Lorsque le choix ou la situation 2 se profile, c’est que la situation 1 devient toxique et trop invasive. Mais la situation 2 paraît encore inaccessible.
Pourquoi ? A cause des peurs, en thérapie, on va les identifier, puis les désamorcer :
- Être sûr de ce que l’on veut pour soi et non pour les autres
- Identifier et conscientiser la reproduction des schémas et loyautés familiales
- Déprogrammer et reprogrammer l’inconscient
- Comprendre et accueillir les émotions pour ne pas qu’elles bloquent la décision
- Apprendre à mettre sa décision dans la matière
Un travail en thérapie holistique va permettre d’effacer ou amoindrir les peurs pour laisser toute sa place au libre arbitre. La décision va devenir évidente et sa réalisation fluide.
